Les Ondes Scalaires

Les chercheurs des médecines alternatives se passionnent depuis quelques années pour les ondes scalaires!

Ces ondes, en forme de spirale sont bien différentes des ondes électromagnétiques car elles sont en forme de spirale (comme notre ADN ou comme les protéines). Elles sont capables de porter à des milliers de kilomètres sans s'affaiblir et sont déjà employées expérimentalement pour soigner. 

Préfigurent-elles la médecine de demain ? Le Dr Janecek, sans doute le meilleur spécialiste français du sujet, nous explique ici de quoi il s'agit et nous rapport les travaux du Pr Konstantin Meyl qui, en Allemagne, travaille étroitement avec la communauté scientifique sur cette découverte majeure.

Les ondes scalaires naturelles

Il existe ce que les physiciens appellent un bruit de fond, qui est permanent et qui nous environne à chaque seconde : ce bruit de fond est en fait un cocktail d’ondes sans lequel aucune forme vie ne serait possible. Personne n’y échappe ; il vient du cosmos, du soleil, des roches, de la terre et des êtres vivants qui nous entourent.

Cette forme de lumière invisible nous est aussi indispensable que l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons ou encore les aliments qui nous nourrissent. De manière expérimentale, des lapins enfermés dans des cages de plomb épaisses, nourris, abreuvés, ventilés et éclairés artificiellement meurent pourtant en 8 jours de ce que l’on pourrait nommer « la faim cosmique » ! Ceci provient du fait qu’ils ont été privés d’une part importante de cette lumière aussi indétectable que vitale ! …

Des chercheurs de l’Université du Pirée avancent que notre métabolisme de base nécessitent quelques 12 000 calories à fournir chaque jour, dont un quart au maximum proviendrait des aliments solides ; un autre quart serait tiré - grâce à nos mitochondries - de l’hydrogène de l’eau bue ! Et enfin 50% de nos besoins énergétiques seraient fournis par la lumière cosmique touchant la terre ! Certaines personnes seraient même capables de se passer de nourriture physique et de ne se nourrir que d’air, d’eau et de lumière ! …

Selon cette hypothèse, il serait donc bienvenue de se poser au moins la question de l’origine de cette lumière cosmique, de sa nature et de la façon dont nous pouvons en profiter, afin « d’animer » au plus proche de nos besoins, notre métabolisme de tous les jours ?

Les grecs ou les indiens parlaient de l’éther pour désigner ce rayonnement fondamental : mais c’est Nikola Tesla qui le premier put mettre en évidence par l’expérimentation l’existence d’ondes très pénétrantes et de puissance suffisante pour être détectées au moins dans la bande des fréquences radio. Ces ondes avaient des propriétés très différentes des ondes électro-magnétiques découvertes par son contemporain Heinrich Hertz.
Le Pr Konstantin Meyl, un physicien allemand de réputation internationale, qui a continué jusqu’à aujourd’hui l’œuvre de Tesla, affirme que ce rayonnement est supporté par les neutrinos, les seules particules connues à ce jour pour pouvoir traverser la terre entière sans être déviées … encore que les japonais ont montré que les neutrinos solaires arrivaient de nuit en quantité 2 fois moindre que ceux qui frappaient le sol durant le jour ; donc les neutrinos disparaissent bel et bien sur leur trajet de 12 000 km à l’intérieur de la terre ! Ce qui fait grossir la terre de quelques 19 cm chaque année selon les tenants de la théorie de l’expansion du globe terrestre depuis sa création il y a 4 milliards d’années ; la masse acquise ainsi serait de 8 téra-tonnes (10 à la puissance 12) par an, selon le Pr Meyl !
Il faut dire aussi que la dose de neutrinos reçue à la surface de notre planète est énorme, de l’ordre de 60 milliards de particules par cm2 et par seconde. Selon les physiciens les plus avancés dans ce domaine, les neutrinos sont de charge électrique … neutre, mais peuvent se dissocier en 1 électron, 1 positron et 1 ou des photons, lorsqu’ils sont ralentis ; en effet, les neutrinos cosmiques seraient capables de voyager à des vitesses supérieures à celle de la lumière ; produits par les trous noirs géants au centre de nos galaxies, par toutes les étoiles en activité, et surtout par les étoiles rouges ou bien par les supernovae, ils composent quelques 85% de la masse de l’univers, dont la fameuse masse noire.

Cette omniprésence de ces grains de lumière très discrets - qui possèdent de plus 4 visages interchangeables dénommées « saveurs » - devrait donc attirer notre attention ? Surtout si ces petites particules surabondantes dans l’univers nous nourrissent à chaque instant … en effet, si elles touchent chaque seconde par dizaines de milliards chaque cm de notre corps et le traversent facilement, dire qu’elles ne servent à rien relèverait de la bêtise la plus profonde ! Et pourtant qui en parle ?

Un peu comme si un poisson au fond de l’océan affirmait que l’eau n’existe pas, car il ne l’a jamais vue ? Les biologistes et les médecins sont en fait dans ce cas de figure aujourd’hui avec ces fameux neutrinos ? …

Le Pr Meyl nous apprend que les neutrinos voyagent sous la forme d’ondes dites scalaires, c’est-à-dire sans vecteur défini, et qu’elles s’orientent dans l’espace lorsqu’une résonance – c’est-à-dire une communication - s’établit entre la source et la cible ; ces ondes sont de forme spirale ou longitudinale et non pas sinusoïde ou transversale comme les ondes électromagnétiques, ce qui explique qu’elles soient très pénétrantes et qu’elles soient reçues par des antennes de même forme : or les ADN de chaque cellule d’un végétal, d’un animal ou d’un être humain sont de forme spirale ou hélicoïdale ; de même les protéines sous leur forme active. Chaque parcelle d’un corps vivant est donc un récepteur à ondes électriques spirales ou ondes scalaires. Et n’a que peu à faire avec l’électromagnétisme naturel (ondes visibles et ondes radio).

A grande distance entre les étoiles comme à très petite distance entre les ADN de chaque cellule, la communication physique se ferait ainsi par ces ondes spirales ; l’avantage est que l’information portée ne diminue pas avec la distance : Nikola Tesla avait il y a plus d’un siècle déjà démontré que les ondes en vortex étaient reçues avec un rendement supérieur à 1 ! La faute à d’autres ondes de même nature spirale et harmoniques de l’onde principale, « ramassées » dans l’environnement. Pas besoin donc d’envoyer un signal à forte puissance dans l’espoir qu’il soit reçu avant d’être amorti ? Il suffit d’envoyer quelques micro-watts et le message porté sera amplifié jusqu’à son récepteur, grâce aux ondes harmoniques de l’environnement. Ce bruit de fond très riche constitue ce que l’on appelle « l’énergie libre », qui est certes de faible puissance, de l’ordre de quelques milliwatts disponibles, mais il est suffisant pour amplifier dans l’espace ce qu’émet ou reçoit chaque être vivant, qui lui fonctionne à quelques microwatts près !

« Les arbres chantent » nous disent les aborigènes … traduite en physique, cette affirmation signifie qu’ils émettent en permanence un quota de ces ondes scalaires, typiques de l’espèce, de la longueur et du volume de l’arbre. Nous aussi, nous émettons des ondes en spirale ; les ondes émises par un cerveau en fonction sont des champs de torsion nous disent depuis 40 ans les chercheurs russes ; c’est-à-dire encore des ondes en vortex ; elles passent les cages de Faraday (à l’inverse de l’électromagnétisme toujours), augmentent leur puissance avec la distance et dès lors que la résonance est établie, elles sont reçues même à des milliers de kilomètres de distance, et ce à faible puissance !
La télépathie a pour support ce type d’ondes ; il n’est ainsi pas plus idiot ni ésotérique de développer ses dons de télépathie que de regarder la télévision ; dans les 2 cas, il s’agit d’un échange d’ondes entre un émetteur et un récepteur, sauf que la nature des ondes est différente, électromagnétique ou transversale dans le cas de la télévision, et scalaire ou longitudinale dans le cas de la télépathie.

Le fait que nous soyons transpercés à chaque seconde de notre vie par ces ondes scalaires venant des étoiles et du soleil d’un côté, de la terre elle-même et des êtres vivants qui nous entourent d’un autre côté, nous fait penser qu’elles sont surement utiles à quelque chose ; si elles nourrissent effectivement tout corps vivant par résonance, en faisant vibrer ou osciller les ADN, les protéines, les métaux qui sont en nous, le fait de pouvoir « domestiquer » ces ondes pourrait en faire une source assimilable d’énergie et donc un moyen de thérapie. A condition d’en maîtriser la production et la puissance. Et de faire en sorte qu’une résonance certaine soit trouvée entre la source et la personne qui est censée en bénéficier ?

La première machine à ondes scalaires, c'est nous!

La première « machine » à ondes scalaires utilisable en thérapie est - depuis la nuit des temps - l’être humain lui-même ; entre ses 2 mains en opposition se crée spontanément un champ d’ondes échangées entre sa droite et sa gauche, dont la charge électrique est différente. Si le thérapeute inclue entre ses mains ouvertes une personne malade qui par définition perd beaucoup d’énergie et donc en a besoin toujours plus, il faut et il suffit que le « magnétiseur » se relie à une source, qu’elle soit cosmique comme le soleil ou bien spirituelle comme un autre être humain et donc en étroite résonance avec lui-même, pour que l’énergie (neutrinos, électrons, photons) passe de sa source à son patient !

Dans toutes les cultures, depuis des milliers d’années, l’homme-médecine est non seulement un connaisseur des plantes et des arômes, mais aussi un chaman capable de canaliser pour ses proches, l’énergie de type scalaire ou longitudinal de l’environnement. Ce flux existe (60 milliards de particules par cm2 et par seconde), il faut et il suffit de le concentrer.

Mais avant même de transmettre cette énergie à une tierce personne, il s’agit d’abord de se servir soi-même … simplement en ouvrant les mains pour soi ; c’est l’attitude naturelle d’une personne qui prie les mains jointes ou bien celle du sage qui médite les bras ouverts. Dans l’espace proche créé entre les mains, il est certain que le champ des ondes émises par une personne est de type scalaire, au moins à distance de la longueur de la main et du bras divisée par 2π, soit un peu plus de 6, disent les physiciens. Autour de ces ondes ainsi créées, s’enroulent la lumière scalaire de l’environnement proche, modulée par les battements du cœur du méditant et les différents rythmes produits par son cerveau au repos, grâce à un état de conscience modifié très réceptif.

Toutes les religions et toutes les spiritualités du monde ont demandé à leurs pratiquants de prier et/ou de méditer ; car toutes les traditions savent depuis toujours que cette attitude renforce la conscience, le mental et le corps physique de l’adepte. Bien sûr, il n’y avait pas d’explication « scalaire » autrefois, mais la physiologie de ces ondes telle que formulée aujourd’hui permet de souligner au moins l’aspect physique bénéfique de ces pratiques.

L’exercice physique harmonisé par les asanas du Hatha Yoga ou bien par les enchainements proposés du Tai Chi chuan,  du Qi Gong ou de la … danse, sont une autre façon de capter la lumière, cette fois par son corps en mouvement. Celui-ci produit à l’expir des ondes mécaniques et absorbe à l’inspir la lumière proche en vortex, harmoniques de la longueur de ses bras, de ses jambes et de l’ensemble de son corps. Il existe mille, voire dix milles exercices ou postures différent(e)s, permettant de tonifier toutes les parties du corps, de « gaver » ses cellules de lumière, et en même temps ainsi de renforcer sa conscience.

Le chant et les mantras, sont aussi constitués par des expirs prolongés et modulés, qui permettent à l’inspir suivant une prise d’énergie d’autant plus puissante que la personne qui chante est reliée à une source qui est signifiante pour elle. Cela peut être une source physique ou cosmique de lumière comme le soleil ou l’univers entier, mais cela peut aussi être une source plus spirituelle et donc plus humaine, qui émet des ondes mentales au plus proche d’une résonance possible avec le chanteur.

Remettez vous donc à la prière et au chant, c’est bon pour votre santé ! Capter ces ondes proches en état modifié de conscience vous relie au cosmos et/ou au divin, cela recharge vos membranes au sens strict, apaise vos douleurs et réchauffe votre corps tout entier.

Comment la méditation ou la prière fonctionnent-elles ?

Même que lorsqu’une personne prie ou médite, son rythme cérébral chute dans la « zone alpha (8-12 Hz) » par le simple fait d’avoir les yeux fermés ! si le méditant ou le priant calme sa respiration, et devient régulier autour de cycles d’ondes cérébrales de 8 Hz, il entre de facto en résonance avec la première fréquence Schuman, qui est de très exactement 7,83 Hz. Or cette fréquence est la première d’une série d’harmoniques qui sont caractéristiques de notre petite planète, de ses mensurations, de l’épaisseur de sa stratosphère et de sa vitesse de rotation.

Il y a toutes sortes d’informations qui circulent sur internet selon lesquelles cette première fréquence de Schuman de 7,83 Hz aurait changé et en serait à présent à des valeurs autour de 12, voire 13 Hz... ce qui fait beaucoup rire les physiciens comme le Pr Meyl car cette rumeur est parfaitement fausse, absolument impossible même : en fait la première fréquence de Schuman ne risque pas de changer avant longtemps puisqu’elle est le produit de la division de la vitesse de la lumière c dans le vide (=300 000 km/sec) par la circonférence du globe terrestre qui est d’environ 38500 km (2pRt avec un Rt de 6000 km). Or la terre « grossit » de 19 cm par an, donc avant que dénominateur de la division change vraiment, il va s’écouler pas mal de temps ! …

L’équation mathématique exacte des fréquences de Schumann est c x racine de 1 + n et divisé par 2pRt, où n est le numéro de l’harmonique considérée.

Ce qui est  vrai par contre est que le champ magnétique terrestre a chuté en 50 ans d’une valeur de 10 à 15%, ce qui est énorme ; un phénomène qui est annonciateur d’un changement des pôles magnétiques sur la terre ; ce qui arrive d’après les sondages géologiques tous les 250 000 ans ! Or il ne s’est pas produit sur terre depuis … 750 000 ans ! Donc nous y sommes, avec un cortège de signes annonciateurs comme des bouleversements météo et des éruptions volcaniques/tremblements de terre divers (autrement plus importants que l’influence des gaz à effet de serre). Le déluge, l’arche de Noé, la disparition de l’atlantide, etc … toutes ces belles histoires de la mythologie, y compris les colères divines et l’apocalypse, tout cela doit avoir pour origine lointaine la mémoire de tels évènements météo sommes toutes très banals une fois tous les quarts de millions d’années sur une planète qui a 4 milliards d’âge. J’espère que nous aurons le temps de les vivre ? il y aura surement beaucoup d’ambiance ? la seule chose que l’on ne sait pas est si ces changements de pôles ont lieu en 6 mois, 3 ans, 50 ans, 200 ans ou 1000 ans ? en bref, quelle est la durée de la phase de transition ? …

Pour en revenir à Schumann et au condensateur terrestre, tous les mammifères sur la terre ont un diencéphale qui est calé sur cette fréquence de 7,83 Hz, valable donc au ras du sol terrestre, là où tous les humains vivent ! c’est si vrai que lorsque les cosmonautes partent dans l’espace et tournent autour de la terre à 250 km d’altitude, ils souffrent du « mal de l’espace » et la NASA a du mettre au point un petit générateur d’un signal de 7,82 Hz, qu’ils placent dans les capsules spatiales et qui corrige cette affection.

Durant notre vie active au cours de la journée, nous sommes en rythme cérébral bêta, soit environ 25 Hz ; dès que nous nous couchons le soir pour nous endormir, nous passons par la phase alpha (8-12 Hz), puis têta (6-7 Hz), puis delta (4 Hz) . Cet état modifié de conscience nous permet certainement de mieux absorber les ondes scalaires de notre environnement, même si elles sont la nuit 2 fois moins nombreuses que le jour ! ( 30 000 000 000 de neutrinos par cm2 et par seconde tout de même au lieu du double).

Si nous nous arrêtons par la prière ou la méditation à 7,83 Hz, nous entrons en résonance avec la terre et nous pouvons prendre cette énergie de l’environnement peut-être 2 ou 3 fois mieux que durant le jour où nous sommes actifs certes, mais dispersés ?

Donc le fait de prier ou de méditer, non seulement nous met en résonance avec la source d’énergie infinie qu’est notre globe terrestre – via le 7,82 Hz - , mais en plus, cela nous permet d’ouvrir nos mains-antennes et de concentrer ce champ ambiant tout proche de nous, bien plus que si ce geste était négligé …

La méditation comme la prière sont donc des états de conscience modifiés qui nous rapprochent de notre planète d’une part, qui nous chargent littéralement en énergie telluro-cosmique par résonance. Au-delà, dans cet état de calme intérieur, une résonance plus spirituelle, donc plus spécifiquement humaine, peut être trouvée, ce qui correspond à un autre type de source d’énergie, plus mentale et moins cosmique, mais il s’agit bien là d’une énergie très concrète. Une source qui nourrit tout autant sinon plus … Mais autant le soleil est unique pour tous, autant chaque priant a une source spirituelle signifiante pour lui, avec laquelle il entre en résonance selon sa culture et son éducation, qui n’est pas forcément celle de son voisin ; la diversité des sources d’inspiration pour la prière étant aussi importante que la diversité de la flore et de la faune à la surface de la terre.

 

Les appareils de thérapie en bio-résonance scalaire

Capter les ondes scalaires à partir de l’environnement est bienheureusement une réalité qui nous occupe tous à chaque seconde de notre vie et ce, depuis notre premier souffle, en fait même un peu avant, déjà dans le ventre de notre mère.

Sans les explications des physiciens – comme le Pr K. Meyl - concernant les ondes scalaires, dont les propriétés sont très différentes des ondes électro-magnétiques, cette partie de notre physiologie serait restée ignorée et donc nous serions restés sans ressource pour essayer de l’amplifier le cas échéant.

Pourtant, dès qu’une personne tombe malade et souffre, à côté des aspects biochimiques de sa maladie, il s’agit de prendre en compte aussi les aspects biophysiques, jusqu’à présent parfaitement ignorés par toutes les facultés de Médecine du monde ?

Par le passé, il y a eu de nombreuses tentatives pour produire artificiellement une certaine forme d’énergie assimilable et en faire profiter des personnes malades.

Il existe aujourd’hui de nombreux appareils dits de bio-résonance ou de physique quantique.


Georges Lakhovsky (1869-1942) fut le premier à parler d’oscillations cellulaires et à construire un générateur d’ondes multiples dans le but de produire de nombreuses harmoniques à partir d’une onde porteuse de type électro-magnétique ; chaque patient selon sa condition pouvait absorber, disait-il,  les ondes qui lui convenaient. Son appareil était un système de 2 antennes, entre lesquelles le patient était assis. Il traita ainsi toutes sortes de maladies, de la syphilis au cancer, en passant par la lèpre et l’ulcère à l’estomac. Avec des succès évidents. Certainement aussi avec quelques échecs, car les composants électroniques de l’époque l’obligeaient à travailler sous des tensions énormes de l’ordre de 450 000 à 480 000 volts ! Si ces antennes étaient des dipôles de Hertz, émettant des ondes électromagnétiques très variées, le Pr Meyl affirme qu’avec des tensions aussi élevées, apparaissaient également quelques ondes scalaires, mais de faible portée. Donc Lakhovsky faisait du scalaire sans le savoir ! Ce qui explique que malgré la puissance des champs électriques engendrés par son oscillateur, il avait besoin d’antennes spirales secondaires et aussi d’un sol conducteur qui refermait le champ créé et qui rendait son dispositif plus efficace.

De nombreuses répliques apparurent ensuite, mais avec des puissances et des tensions (20 000 volts) nettement moindres, donc moins dangereuses, mais aussi peu ou pas efficaces, d’après leurs utilisateurs.

A la même époque aux Etats-Unis, un ingénieur très doué et ingénieux, Royal Raymond Rife (1888-1971), travaillait sur des microscopes capables de voir les micro-organismes sous leur forme vivante. Rife put ensuite mettre au point des générateurs d’ondes qui pouvaient directement inhiber la croissance de ces micro-organismes. La construction de ces générateurs était très différente de celle de Lakhovsky. Rife utilisa des tubes à plasma (un gaz) mis sous tension et générateur d’une onde porteuse de quelques 3 MHz environ. Avec une puissance de 400 watts ! Et les réglages de la modulation de cette onde première permettaient bel et bien d’inhiber tel ou tel virus ou bien telle bactérie… Or les ondes de plasma sont principalement des ondes scalaires ou longitudinales. Rife ne le savait pas, mais là encore, il produisait du « scalaire » sans en être conscient. Dans les années 30, il proposa de traiter avec sa machine et avec l’aide de nombreux médecins, différentes personnes, en particulier atteintes de cancers ; seuls certains réglages de modulation de l’onde de plasma porteuse étaient utiles et très efficaces. Soutenus par les uns, décriés et combattus par les autres et en particulier par la FDA, Rife dut s’enfuir à l’étranger pour échapper à ses détracteurs et sauver sa vie !

Le même sort ou presque fut réservé aux découvertes d’un autre créateur de champs d’ondes scalaires, Antoine Prioré (1912-1983), qui vécut en France dans les années 40 à 80. Electronicien  autodidacte, sans connaissance théorique, mais d’une intelligence pratique hors norme , il fit fonctionner lui aussi un tube à plasma, de puissance de plus en plus forte, capable de traiter les animaux d’expérience qui lui étaient soumis, puis les patients humains qui vinrent le voir. Là encore, provenant d’un plasma sous tension, il s’agissait d’ondes scalaires très efficaces pour soutenir l’immunité (travaux du Pr Pautrizel de Bordeaux) et pour combattre le cancer tant chez la souris que chez l’homme, avec des réserves tenant au protocole de modulation de l’onde choisie. L’académie de Médecine en France fut là encore partagée en 2 camps, les pro- et les anti- Prioré ; sans beaucoup d’explications théoriques, Prioré faisant pourtant fonctionner son appareil avec de très nombreux succès expérimentaux. Mais le secret du réglage de l’onde scalaire porteuse que produisait son gaz, disparut malheureusement avec lui, à sa mort en 1983.

Que ce soit avec Lakhovsky, puis surtout avec Rife et tout autant avec Prioré, les ondes scalaires modulées étaient au cœur du succès rencontré par ces appareils. Les échecs étant dus, soit à des réglages ou des montages inadaptés, soit à des puissances non supportées par les patient, d’où une saturation, voire une sidération des cellules réceptrices.

A la suite de ces glorieux parce que célèbres devanciers, et en suivant les travaux du génial Tesla, le Pr Meyl a fabriqué lui aussi un générateur de champ scalaire ; mais avec un montage qui permette la création d’un champ de plusieurs mètres de long, dans lequel pouvait s’installer un patient. Là où se tient le patient, l’espace est réellement enrichie dans ces ondes de type longitudinal en vortex. Autant Rife ou Prioré ne savaient pas qu’ils manipulaient des ondes scalaires, autant le Pr Meyl en est conscient en les sélectionnant soigneusement par le choix de la forme de ses antennes, émettrice et réceptrice.
Le Pr Meyl a inventé l’électronique qui lui permet de créer un champ scalaire sous tension minimale de 2 volts et avec une puissance infime de quelques 50 milliwatts, soit 8 000 fois moins que ce que produisait l’appareil original de Rife. Les antennes de son scalar wave device sont en fait - en plus petites - de la même forme que les antennes créées autrefois par Nikola Tesla.

Depuis 10 ans, les médecins allemands ont poussé le Pr Meyl à adapter son appareil à la clinique, en introduisant des possibilités de modulation de l’onde porteuse, soit par de  la musique qui produit un nombre infini d’harmoniques, soit par des produits biologiques, comme des extraits de plantes et/ou de tissus.

Cette technologie est arrivée en France il y a 2 ans et déjà les médecins, les vétérinaires et les thérapeutes français ont pu vérifier la transmission d’énergie et d’informations à un patient par les ondes scalaires, une fois la résonance entre les antennes et la personne établie. La possible vérification de la résonance entre les antennes et le patient, de manière optique et/ou acoustique, est le point fort de cette technologie made in germany.

Les informations transmises peuvent être soit une huile essentielle, soit un extrait de tissu ou encore des nutriments essentiels (un ou plusieurs oligo-éléments). Cela peut être encore un remède homéopathique ou un nosode (dilution homéopathique d’un extrait de virus ou de bactérie pathogène). Toutes ces informations sont associées à un quantum d’énergie, ce qui fait qu’elles deviennent signifiantes pour le corps qui les reçoit.

Le transfert par ces ondes scalaires « très communicantes » a pu se faire même entre cellules entières, comme cela se fait naturellement entre les ADN de nos propres tissus ; ainsi une expérimentation d’inhibition de cellules cancéreuses à distance par transfert d’une information d’apoptose par voie scalaire a déjà été réalisée, que ce soit à Heidelberg en 2012, à Madrid ou à l’université de Brescia en Italie en 2013. Un scoop mondial qui appelle d’autres expérimentations, afin d’amplifier ces résultats et de les transposer in vivo en routine.

Une autre application concerne la revitalisation des tissus et le bien-être : autrefois des personnes nanties allaient en Suisse ou en Allemagne afin de subir à grands frais des injections de cellules fraîches embryonnaires pour se revitaliser : or il est maintenant possible de se transférer sans aucun risque d’allergie les mêmes informations de cellules embryonnaires par le moyen des ondes scalaires, cette fois à partir de cellules jeunes de graines germées ou de bourgeons végétaux ? Le message est le même, mais le vecteur est une simple onde spirale !

Se placer dans un champ d’ondes scalaires de faible puissance revient en fait à se placer dans les bras d’un bon magnétiseur ; un magnétiseur qui aurait quelques produits utiles dans la main, capables de traverser le champ et donc son patient ; c’est ce que réalise cet appareil conçu par le Pr Meyl, le premier de sa génération à réellement proposer un discours et une technologie scientifiques afin d’utiliser au mieux ces ondes scalaires naturelles.

Le secret pour être efficace pour redonner de l’énergie à une personne reste encore le comment de la modulation de l’onde porteuse ; ainsi ont été adoptées la modulation par la première harmonique des ondes schumann, soit 7.82 Hz (c’est-à-dire la vitesse de la lumière c divisée par la circonférence de la terre) ou encore les diverses cadences issues des recherches de Rife ; l’appareil du Pr Meyl devenant aussi un appareil de Rife et bien plus …

 

La Médecine de demain!

La Médecine du XXIè siècle sera physique ou bien ne sera pas ; associer les protocoles incluant la physique et l’apport des ondes scalaires aux meilleures prescriptions de chimie – si possible naturelle – est et sera un beau challenge pour un médecin ; reste à convaincre et surtout à enseigner simplement cette biophysique des champs si efficace, à des médecins et des thérapeutes qui encore aujourd’hui n’y sont pas forcément préparés ? On pressent que bientôt toutefois, ne pas traiter par les ondes sera considéré comme une perte de chance pour chaque malade et que les patients eux-mêmes réclameront ces thérapeutiques. Il faut qu’elles deviennent à tel point banales qu’elles soient incluses dans tout traitement ; et enseignées dans toutes les universités …

A ce moment là seulement, la médecine dite moderne deviendra l’égale des médecines traditionnelles les plus évoluées que sont la médecine chinoise et l’ayurvéda. Ce temps n’est désormais plus très éloigné …


On peut ainsi inhiber toutes sortes de micro-organismes dans le corps, par action des ondes scalaires modulées par les fréquences de Rife associées à des huiles essentielles sélectionnées avec soin : Lyme, herpès, Ebv, HpV, etc … bien sûr, il faut répéter les séances ; l’utilisation des nosodes permet de cibler encore plus le virus ou la bactérie à éliminer.

Nos appareils de Biorésonance et Biofeedback SCIO nous permettent d'envoyer les Fréquences de produits tels que les Fleurs de Bach, les Huiles essentielles, d'autres Fréquences issus de remèdes homéopathiques ou phytothérapeutiques.
En prenant aussi conscience de certaines émotions qui peuvent ressurgir comme la colère, la peur ou bien d'autres, qui ne sont pas conscientes.
Équilibrer les méridiens pour soutenir le corps sur un plan énergétique...
 

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